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Deux ouvrages sur l’océan : la Nouvelle-Calédonie aux avant-postes !

01/07/2025

Deux ouvrages sur l’océan : la Nouvelle-Calédonie aux avant-postes !

Visibiliser les approches autochtones

 

Le livret La vision Kanak de l’océan — Yamaiwaa wêêmwâ mâ kaa tö, paru en mai 2025, raconte en 28 pages richement illustrées ce que l’océan représente dans la culture kanak : une entité nourricière, spirituelle et relationnelle faisant partie d’un tout, dans un équilibre fragile. 

 

Ce projet mené avec le Sénat coutumier, les huit aires coutumières et Conservation international, a nécessité de nombreux mois de travail : coordination éditoriale, rédaction, co-conception des illustrations, et en amont, une collecte rigoureuse de savoirs locaux grâce à des ateliers participatifs.

 

Livret Vision Kanak de l'océan

 

 

➡️ Consulter le livret « La vision Kanak de l’océan »

 

«  C’est la première fois que je me suis attelée à la vulgarisation de savoirs autochtones. Le défi était de taille, car il s’agit de traditions orales, issues d’innombrables observations de la nature, enrichies de multiples expériences individuelles et collectives, transmises à un cercle restreint. La tâche m’a paru vertigineuse au départ. Mais la rigueur, la patience, la confiance mutuelle et la collaboration étroite avec les référents coutumiers du groupe de travail Vision Kanak de l’Océan, ceux qui allaient porter cette parole ensuite, ont été des clés essentielles de la réussite. » explique Estelle Bonnet-Vidal, communicante scientifique, fondatrice et gérante de Lincks.

 

citation 1

 

Le plan de bataille était clair : rassembler un maximum d’informations, les organiser, les synthétiser sans trahir la pensée initiale, puis les structurer en chapitres, afin de tracer un véritable itinéraire de lecture. Ensuite, il fallait leur donner vie sur le plan visuel : imaginer des titres mémorisables, des intertitres, des exergues, mais aussi des illustrations à la fois belles, claires et porteuses de sens.

 

L’apport des référents coutumiers, qui ont traduit les textes en langues kanak, apporte une poésie et une profondeur supplémentaires, donnant encore plus de force au propos.

 

«  J’ai réalisé la plupart des esquisses préparatoires pour les infographies, afin de guider le travail de l'illustrateur. La collaboration avec des professionnels de grand talent a été d'ailleurs déterminante : Jacques Fernandez (agence Eudanla) s'est chargé de la mise en page, Romain Flamand (Flamingo) des illustrations, et Nicolas Job (Héros Marine) des photographies. Tout ce travail de co-conception éditoriale et visuelle a été pensé pour rendre ces savoirs à la fois accessibles, respectueux, mémorables et engageants pour le lecteur. » 

 

ateliers de travail brochure VKO

Photos : Ateliers de travail sur la brochure avec les référents coutumiers (1), avec le graphiste et l'illustrateur (2) © Lincks 

 

 

Lors de l’UNOC, les représentants des coutumiers ont présenté l'ouvrage au public et l'ont remis en main propre à plusieurs hautes personnalités politiques, dont le président de la République Emmanuel Macron et le ministre des Outre-mer, Manuel Valls. Cette reconnaissance témoigne de l’intérêt croissant porté aux approches autochtones qui ont prouvé leur efficacité depuis des millénaires.  

 

« Voir cet ouvrage circuler de main en main est une immense fierté ! Contrairement à ce que l’on croit souvent, la sortie d’un ouvrage n’est pas une fin, mais un début ! Tout commence véritablement lorsque l’on offre au public le fruit de son travail, et que s’ouvrent alors des discussions, des rencontres et des prises de conscience. » 

 

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Un évènement scientifique d’une portée internationale comme l’UNOC offre une visibilité exceptionnelle auprès d’un public que nous souhaitions précisément toucher, mais il agit surtout comme un formidable accélérateur de circulation des savoirs.

 

« Nous avons su saisir cette opportunité en étant très actifs sur les réseaux sociaux pendant toute la durée de l’événement. Avec le groupe de travail Vision Kanak de l’Océan, nous avons élaboré il y a deux ans, une stratégie de communication ambitieuse. Aujourd’hui, les résultats vont déjà bien au-delà de nos attentes ! » 

 

 

Présentation du livre VKO à l'UNOC

Photos : Remise du livret vision kanak de l'océan au président E. Macron (1) et au ministre M. Valls (2) au pavillon des outremers (3) lors de l'UNOC © délégation de la Nouvelle-Calédonie.

 

 

Raconter la science autrement : une plongée dans la mer de Corail

 

Le second ouvrage, Nouvelle-Calédonie, un océan de savoirs, est un un beau livre de 168 pages coordonné par Claude Payri, directrice de recherche à l’IRD. Véritable immersion dans le parc naturel de la mer de Corail — l’une des plus grandes aires marines protégées au monde — ce livre restitue plus de vingt ans de recherches et d’explorations scientifiques dans cet espace marin unique.

 

Là encore, la vulgarisation scientifique a été essentielle pour rendre les connaissances accessibles, sans trahir leur complexité.

 

Chapitre après chapitre, le lecteur est invité à plonger dans les courants océaniques, explorer les abysses, découvrir la faune du large, les récifs coralliens, les îlots riches en biodiversité… jusqu’aux questions de gouvernance et préservation dans un monde en proie à de nombreux bouleversements. 

 


 

Livre Nouvelle-Calédonie un océan de savoirs

 

 

➡️ Commander l'ouvrage "Nouvelle-Calédonie, un océan de savoirs" aux éditions IRD 

 

 

Ce livre a été écrit par 60 auteurs issus de disciplines très variées. Ce type de challenge demande une vraie rigueur, presque une discipline militaire, pour que tout reste fluide, lisible, cohérent, et soit livré en temps et en heure (l'objectif étant une parution pour l’UNOC).

 

Dès le départ, une réunion préparatoire avec tous les coordinateurs de chapitre a été organisée. « Je leur ai alors fourni des conseils de rédaction claire et transmis un modèle de chapitre structuré : chapô introductif, longueur attendue, types de titres et d’intertitres, exemples d’exergues, types de photos, légendes, crédits… J’ai également élaboré un calendrier précis des différentes phases éditoriales et mis en place un système commun de partage des fichiers. » souligne Estelle Bonnet-Vidal

 

Quelques chiffres pour mesurer l’ampleur du projet : « Mon dossier de gestion contient aujourd’hui plus de 850 éléments différents. J’ai travaillé en étroite collaboration avec 19 coordinateurs de chapitres et/ou auteurs, 3 photographes, un graphiste et une relectrice. Cela représente une cinquantaine de journées de travail rien qu'à mon niveau, des centaines et des centaines de mails échangés, de versions relues, de validations, d’ajustements partagés. » confie Estelle Bonnet-Vidal.

 

citation 5

 

Une fois les textes reçus, le rôle de Lincks a été de réaliser l’harmonisation éditoriale des chapitres scientifiques. Il a fallu fluidifier la lecture, clarifier certains concepts parfois ardus, proposer des titres et intertitres attractifs, rédiger ou améliorer les chapôs et les exergues, et guider au mieux le graphiste en indiquant les éléments à mettre en valeur visuellement (encadrés, exergues, zooms graphiques).

 

«  Dans cette scénarisation de l’information, je voulais que les lecteurs et lectrices aient vraiment la sensation d’embarquer à bord des navires océanographiques avec les scientifiques, de plonger dans les profondeurs de la mer de Corail, de fouler ces îlots éloignés, de côtoyer cette incroyable biodiversité et de découvrir ainsi un patrimoine que peu de gens ont la chance d’explorer.»

 

équipe éditoriale

Photo : L''équipe éditoriale à l'œuvre (du premier plan à l'arrière plan : Estelle Bonnet-Vidal, Claude Payri, Fadhila Le Meur et Jonathan Rebouillon) © Lincks

 

Pour mener à bien ce genre de projet dantesque, il est indispensable de s’entourer de professionnels rigoureux, capables de garder leur sang-froid lorsque, dans les dernières semaines, la pression monte à tous les niveaux de la chaîne éditoriale. Il faut aussi composer avec les retards de certains contributeurs, les ajouts de dernière minute, les contraintes de calendrier des uns et des autres, ainsi que quelques incompréhensions ou insatisfactions ponctuelles, inévitables dans ce type de projet collectif. La gestion de ces dernières nécessitent une bonne dose de diplomatie et d’énergie !

 

« Nous avons mené un véritable ballet millimétré, avec Jonathan Rebouillon (mise en page), Fadhila Le Meur et Françoise Cayrol (relectures), Claude Payri et moi-même (coordination éditoriale), pour tenir les délais tout en maintenant un niveau d’exigence très élevé » précise t-elle

 

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Co-édité par l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et les presses universitaires de Nouvelle-Calédonie (PUNC), l’ouvrage a été officiellement remis lors de l’UNOC par Valérie Verdier, PDG de l’IRD, à la ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, ainsi qu’à la présidente du congrès de la Nouvelle-Calédonie, Veylma Falaeo, au membre du gouvernement en charge du parc naturel de la mer de Corail, Jérémie Katijo-Monnier.

 

Cette reconnaissance à haut niveau souligne là encore la portée diplomatique, politique et sociétale d’un tel ouvrage.

 

Présentation du livre un océan de savoirs à l'UNOC

Photos : Remise de l'ouvrage "Nouvelle-Calédonie, un océan de savoirs" par la PDG de l'IRD à la ministre de la transition écologique et aux représentants de la Nouvelle-Calédonie (1). Valérie verdier et Pierre-Yves Le Meur, anthropologue à Nouméa et l'un des auteurs du livre 2).  Aïlé Tikouré et Veylma Falaéo (3) © délégation de la Nouvelle-Calédonie.

 

 

Un travail invisible, mais essentiel...

 

Derrière ces deux ouvrages, il y a une conviction profonde : les savoirs scientifiques et les savoirs autochtones se complètent. Leur dialogue n’est pas seulement possible, il est devenu indispensable pour répondre aux grands défis environnementaux de notre époque.


Le monde s’engage pour la préservation des océans, et la Nouvelle-Calédonie n’est pas en reste. Mais encore faut-il des passeurs pour rendre ces savoirs accessibles, les organiser, les mettre en récit et leur donner la visibilité qu’ils méritent. Ces courroies de transmission sont essentielles pour créer des ponts entre le monde de la recherche, les autorités coutumières, les décideurs et la société civile.


Ainsi, la fondatrice de Lincks conclut : « C’est précisément ce que je m’efforce de faire depuis sept ans avec mon agence de communication scientifique, toujours avec la même exigence : viser la qualité et l'impact ! Je ne suis pas en première ligne lorsque paraissent ces magnifiques ouvrages, auxquels j’ai pourtant consacré une énergie considérable, mis ma sensibilité, ma créativité et mon attachement à la transmission — et c’est normal : ce sont les clients, les scientifiques et les autorités coutumières qui doivent être mis en avant et faire rayonner eux-mêmes les messages qu’ils ont souhaité partager. Ces projets éditoriaux sont avant tout des aventures humaines marquantes, et leur aboutissement est le fruit d'un travail collectif réussi. Je suis fière que mon entreprise ait pu jouer un rôle non négligeable à un moment où l’océan est véritablement au centre des préoccupations mondiales. Une fonction de l'ombre qui me convient parfaitement, mais ô combien utile, quand on comprend que l’adaptation de la société aux bouleversements actuels ne pourra se faire ni sans la science, ni sans la culture. » 

 

 

 

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👉 En savoir plus sur les services proposés par Lincks :

 

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Contributeurs principaux aux deux ouvrages :

 

🌊 La vision Kanak de l’océan :
Sénat coutumier, les huit conseils d’aires, Conservation International, Estelle Bonnet-Vidal (rédaction, coordination, illustrations—Lincks), Romain Flamand (illustrations—Flamingo), Jacques Fernandez (PAO— Eudanla), Josine Tiavouane (coordination— CI) les référents coutumiers du groupe Vision Kanak de l'Océan (Yvon Kona, Jean-Yves Poédi, Théophile-Bassié Ijézié, Aïlé Tikouré, Kötrepi Neudjen, John Peu, Reybas Wafa-Céou.

 

🌊 Nouvelle-Calédonie, un océan de savoirs
Claude Payri (coordination de l'ouvrage), Estelle Bonnet-Vidal (coordination éditoriale et vulgarisation scientifique — Lincks), Jonathan Rebouillon (PAO), Fadhila Le Meur et Françoise Cayrol (relectures). Publié par les éditions IRD et les PUNC (Presses Universitaires de la Nouvelle-Calédonie), ce livre a été financé par le Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, la Mission aux affaires culturelles de l’État, la Direction du service de l'Etat de l'Agriculture, de la Forêt et de l’Environnement (DAFE), la communauté du Pacifique (CPS), l’UMR ENTROPIE, et le CRESICA, Consortium pour la recherche, l’enseignement supérieur et l’innovation en Nouvelle-Calédonie.

[VIDÉO] Le spectacle art et science sur les films de Miyazaki a fait un carton !

20/12/2022

[VIDÉO] Le spectacle art et science sur les films de Miyazaki a fait un carton !

 

Rediffusion TV sur Caledonia :

 

  • Samedi 20 janvier 2023 à 10h, première partie
  • Dimanche 21 janvier à 10 h, 2ème partie

 

Retour en témoignages

 

« Au départ, nous n’avions prévu qu’une seule soirée. Mais, des centaines de personnes n’ont pu entrer le 4 octobre, et nous avons tenu à organiser une deuxième soirée, qui a également fait le plein ! Nous ne nous attendions pas à une telle affluence ! Le plus agréable a été de voir arriver des familles avec de jeunes enfants ou encore des groupes d’adolescents. C’est un public que l’on voit rarement aux conférences scientifiques grand public » explique Estelle Bonnet-Vidal, consultante en communication scientifique, gérante de Lincks et organisatrice de l’événement. 

 

Sur scène, 30 jeunes musiciens du conservatoire ont interprété de façon magistrale les musiques de Joe Hisaishi, le fidèle compositeur des films de Miyazaki, pendant qu’en arrière-plan, défilaient des extraits de « Mon voisin Totoro », « Kiki la petite sorcière », « Ponyo sur la falaise », « Nausicaa » et « Princesse Monoké ».

 

Forêts majestueuses, animaux extraordinaires, tempête dantesque… Tous les extraits projetés étaient sur le thème de la nature ou des relations entre l’homme et la nature. « Miyazaki est incontestablement le plus grand réalisateur de films d’animation japonais. Il dessine la nature comme personne. J’ai choisi des extraits pour que les scientifiques puissent rebondir dessus et proposer des mini-conférences vulgarisées sur les forces de la nature calédonienne et leurs recherches » ajoute Estelle Bonnet-Vidal.

 

Claude Payri, directrice de recherche à l’IRD, s’est prêtée à l’exercice et a proposé une mini-conférence sur la biodiversité marine. « Je me suis appuyée sur la très belle séquence d’introduction de Ponyo sur la falaise, où l’on découvre le foisonnement du monde marin dans lequel vit Ponyo, et j’ai fait le parallèle avec la richesse incroyable de la biodiversité calédonienne. Ces exercices de mini-conférences vulgarisées sont toujours difficiles pour nous les scientifiques, car nous manipulons beaucoup de données et nous aimons nuancer nos propos. Il ne faut pas minimiser le travail de préparation que cela demande et ne pas hésiter à prendre des conseils auprès des médiateurs scientifiques pour être sûr d’être compris par un public auquel nous sommes adressons plus rarement. À l’issue de cette soirée Miyazaki, les réactions du public ont été vraiment enthousiastes et je suis très heureuse d’avoir fait partie de cette aventure originale », confie-t-elle. D’autres scientifiques de l’IRD, de météo-France, du projet Clipssa, de l’université de la Nouvelle-Calédonie et de l’Institut Pasteur sont intervenus sur la biodiversité terrestre, les maladies transmissibles ou encore le vent.

 

Côté musique, « les élèves ont adoré le projet dès le début et ils ont travaillé toute l’année avec leurs professeurs de flûte, piano, violon, violoncelle et clarinette. Nous avons eu très peu de répétitions tous ensemble, mais l’harmonie était là et le public a été enchanté », commente Rémy Quinne, professeur de piano et directeur musical du projet. Au total,  près de 700 Calédoniens et Calédoniennes sont venus assister aux deux représentations et ils ont particulièrement apprécié le métissage original entre le cinéma, la musique classique et la science. 

 

Caroline Edant, chargée de mission Biodiversité-Climat à l’AFD, précise : « L’AFD a soutenu cette création originale et ambitieuse à travers le projet CLIPSSA et nous sommes très fiers de l’avoir fait avec nos partenaires de l’IRD et Météo-France. Cet événement a permis une sensibilisation aux enjeux de biodiversité et changement climatique à travers l’émerveillement.  Je tiens à saluer l’audace et l’engagement de tous les intervenants, des scientifiques aux musiciens, en passant par les organisateurs et les autres sponsors ».

 

 

Les présentations scientifiques

 

 

Les séquences musicales

 

Photos © J-M Boré, IRD

 

 

 

Tables rondes "Lancement de la décennie des sciences océaniques en Nouvelle-Calédonie"

18/05/2022

Tables rondes "Lancement de la décennie des sciences océaniques en Nouvelle-Calédonie"

 

 

Chaque intervenant a préparé une présentation de 5 minutes sur des sujets divers.  Les panélistes ont ainsi montré les inter-relations entre les disciplines scientifiques, entre le monde de la recherche. Chaque table ronde s'est ouverte ensuite sur une séquence d'échange avec le public.

 

 

  • Table ronde 1 : Biodiversité, ressources et climat : quels avancées scientifiques sur l'océan en Nouvelle-Calédonie ?

 

Avec : Claude Payri (IRD), Yves Letourneur (UNC), Valérie Allain (Communauté du Pacifique), Christophe Menkès (IRD) et Benoit Soulard (Ifremer).

 

> VOIR LE DIAPORAMA DE LA TABLE RONDE 1

 

> CALÉDONIA CONFÉRENCE - VIDÉO TABLE RONDE 1

 

 

 

  • Table ronde 2 : La relation entre l'homme et l'océan : quels usages, quelle gouvernance et géopolitique ?

 

Avec : Pierre-Yves Le Meur (IRD), Nathalie Baillon (CEN), Manuel Ducrocq (Parc naturel de la mer de Corail), Jean-Yves Poédi (Sénat coutumier) et Cameron Diver (Communauté du Pacifique).
 

> VOIR LE DIAPORAMA DE LA TABLE RONDE 2

 

> CALÉDONIA CONFÉRENCE - VIDÉO TABLE RONDE 2

 

 

Accompagnement de Lincks :

 

  • Appui à l'organisation du programme scientifique et de la scénographie
  • Coaching des intervenants et harmonisation des diaporamas
  • Modération des présentations et animation du débat avec la salle

 

Photos, droits réservés : Jean-Michel Boré (IRD)

 

 

En savoir plus sur l'accompagnement de Lincks sur les événements scientifiques ou contactez-nous au : 856.235

 

 

 

 

 

856.235

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Anse-Vata, 98800 Nouméa, Nouvelle-Calédonie